“Je suis un très mauvais auteur, mais un bon éditeur”
Dans cette très belle lettre de 1955, le mythique David Ogilvy explique comment il fait pour écrire ses publicités. Ce mélange de réalisme, d’humour et de cynisme vaut le détour : “Je suis terrifié de produire une mauvaise publicité. Cela fait que je jette les 20 premières tentatives. Si tout le reste échoue, je bois la moitié d’une bouteille de rhum et écoute un oratorio de Haendel sur le gramophone (…)”