Anglo-Japanese realities
This is meant as a hit piece on Japan, but it’s unreal how every single sentence applies better to post-brexit UK. Except the part about enjoying peace, prosperity, and highly functioning public infrastructures.
This is meant as a hit piece on Japan, but it’s unreal how every single sentence applies better to post-brexit UK. Except the part about enjoying peace, prosperity, and highly functioning public infrastructures.
Parmi toute la couverture de la situation japonaise, cet article attire l’attention : les yakuza se sont largement mobilisés pour envoyer des camions de nourriture et de fournitures dans les zones sinistrées.
Simple charité ? Poursuite d’un agenda caché ? Peu importe : comme le remarque bien l’article, “when it’s life or death, you don’t care where your food comes from.” Appliquons le Rasoir d’Ockham en leur accordant ici une présomption de bonne foi.
Ce qui est intéressant est surtout leur capacité à le faire : pourquoi les organisations clandestines se montrent si souvent mieux organisées que les autorités ?
J’ai rencontré l’année dernière un consultant dont la mission était d’aider un logisticien à s’organiser “au moins aussi bien que ses syndicats.” Ce logisticien était en effet confronté à un problème assez génant : une grève ou une contestation dans un de ses entrepôt se propageait instantanément aux autres, avant que les dirigeants des autres entrepôts ne soient informés de la situation et de la position à tenir.
Pourquoi, si souvent, les réseaux informels fonctionnent tellement mieux ?